Modèle de développement endogène au Burkina Faso : des experts veulent ressusciter les idées de Thomas Sankara
Le premier ministre Albert Ouédraogo a présidé l’ouverture des travaux d’un colloque international le mardi 26 juillet 2022 à l’université Thomas Sankara(UTS). Les échanges porteront sur les idées du président Sankara en vue de trouver un modèle de développement endogène. Ce colloque a réuni plusieurs experts nationaux et internationaux venus des États-Unis, du Canada, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Togo, du Niger et du Bénin.
Le soucis de pérenniser les œuvres du père de la révolution de 1984 est désormais une volonté du monde scientifique de l’Université Thomas Sankara(UTS). C’est ce qui a motivé la création d’une tribune à travers l’organisation d’un colloque international. Initié par le Centre d’étude, de documentation et de recherche économique et sociale (CEDRES), il est placé sous le thème << Thomas Sankara et le développement >>. Durant trois jours, des personnalités de renom qui ont été des artisans de la Révolution d’août 84 animeront des panels pour examiner les idées qui pourront aider à orienter des politiques publiques. La cérémonie officielle d’ouverture est intervenue dans la matinée du mardi 26 juillet 2022 à Ouagadougou sous la présidence du premier ministre, Albert Ouédraogo.
Le soucis de pérenniser les œuvres du père de la révolution de 1984 est désormais une volonté du monde scientifique de l’Université Thomas Sankara(UTS). C’est ce qui a motivé la création d’une tribune à travers l’organisation d’un colloque international. Initié par le Centre d’étude, de documentation et de recherche économique et sociale (CEDRES), il est placé sous le thème << Thomas Sankara et le développement >>. Durant trois jours, des personnalités de renom qui ont été des artisans de la Révolution d’août 84 animeront des panels pour examiner les idées qui pourront aider à orienter des politiques publiques. La cérémonie officielle d’ouverture est intervenue dans la matinée du mardi 26 juillet 2022 à Ouagadougou sous la présidence du premier ministre, Albert Ouédraogo.
Il a apprécié la tenue du présent colloque à sa juste valeur, car, clame-t-il, le pays des hommes intègres est à un moment décisif de son histoire d’où il faut << Oser inventer l’avenir >>.
Pour lui, Thomas SANKARA, une icône, dont la simple évocation du nom ne laisse personne indifférent. De ce fait, Albert Ouédraogo a souligné que le monde de la formation, de l’enseignement et de la recherche se doit de poser les bases de la transformation en Afrique à travers ses œuvres afin d’apporter le rayon de lumière et d’indiquer le chemin à suivre pour le bien-être socio-économique du continent.
Quand au président de l’UTS, Pam Zahonogo, il a indiqué que le choix du thème de ce colloque relève d’une motivation. Pis encore, a-t-il dit, il est parti d’un constat selon lequel les modèles de développement traduisent des résultats limités sur le bien-être des populations de pays africains. Et cela, a-t-il expliqué, est dû, du fait de leur inadéquation ou des spécificités des contextes africains. De son avis, des propositions pertinentes seront tirées de ces échanges afin d’aider à prendre des décisions de politiques publiques qui impacteront positivement la vie des populations.
Dans son allocution, le parrain du colloque, Dr Alain Roger Coeffe a confié que le capitaine Thomas Sankara était pour un développement à la fois théorique et pratique. Tout en se rejouissant de parrainer ce colloque qui lui est dédié, Dr Coeffe a salué ce privilège de lui rendre un hommage.
Selon les organisateurs, cette rencontre vise à questionner les modèles actuels de développement à la lumière des idées prônées par le Président Sankara. Ceela dans le but de tirer des leçons en vue d’un développement endogène à la limite efficace. Ainsi, le premier panel portera sur Thomas Sankara et le développement au 21ème siècle: regards croisés. Le deuxième panel traitera de Thomas Sankara et les relations internationales. Les panelistes échangeront ensuite sur le thème : femme, jeunesse et politique de développement au 21ème siècle. En outre, des communications pluridisciplinaires sur diverss axes seront au menu. Il s’agit de la question de la politique publique et endettement, de l’environnement, du changement climatique, de l’agriculture, du financement du développement en Afrique.
Zonouhan LAYA
www.afrikpress.com
Il a apprécié la tenue du présent colloque à sa juste valeur, car, clame-t-il, le pays des hommes intègres est à un moment décisif de son histoire d’où il faut << Oser inventer l’avenir >>.
Pour lui, Thomas SANKARA, une icône, dont la simple évocation du nom ne laisse personne indifférent. De ce fait, Albert Ouédraogo a souligné que le monde de la formation, de l’enseignement et de la recherche se doit de poser les bases de la transformation en Afrique à travers ses œuvres afin d’apporter le rayon de lumière et d’indiquer le chemin à suivre pour le bien-être socio-économique du continent.
Quand au président de l’UTS, Pam Zahonogo, il a indiqué que le choix du thème de ce colloque relève d’une motivation. Pis encore, a-t-il dit, il est parti d’un constat selon lequel les modèles de développement traduisent des résultats limités sur le bien-être des populations de pays africains. Et cela, a-t-il expliqué, est dû, du fait de leur inadéquation ou des spécificités des contextes africains. De son avis, des propositions pertinentes seront tirées de ces échanges afin d’aider à prendre des décisions de politiques publiques qui impacteront positivement la vie des populations.
Dans son allocution, le parrain du colloque, Dr Alain Roger Coeffe a confié que le capitaine Thomas Sankara était pour un développement à la fois théorique et pratique. Tout en se réjouissant de parrainer ce colloque qui lui est dédié, Dr Coeffe a salué ce privilège de lui rendre un hommage.
Selon les organisateurs, cette rencontre vise à questionner les modèles actuels de développement à la lumière des idées prônées par le Président Sankara. Cela dans le but de tirer des leçons en vue d’un développement endogène à la limite efficace. Ainsi, le premier panel portera sur Thomas Sankara et le développement au 21ème siècle: regards croisés. Le deuxième panel traitera de Thomas Sankara et les relations internationales. Les panelistes échangeront ensuite sur le thème : femme, jeunesse et politique de développement au 21ème siècle. En outre, des communications pluridisciplinaires sur divers axes seront au menu. Il s’agit de la question de la politique publique et endettement, de l’environnement, du changement climatique, de l’agriculture, du financement du développement en Afrique.
Zonouhan LAYA
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