Insécurité au Burkina Faso : le président de l’ALT solidaire aux blessés de guerre
Le président de l’Assemblée Législative de transition (ALT) Ousmane Bougma est allé apporter du réconfort aux blessés de guerres le jeudi 22 décembre 2022 au Camp Sangoulé Lamizana à Ouagadougou.
Le Burkina Faso est permanemment sous l’emprise des groupes armés non identifiés depuis plus de six (06) ans. Des confrontations entre les terroristes et les Forces de défense et de sécurités (FDS) ont tous les jours lieu sur le territoire burkinabè. Une situation qui est sans conséquence dans la vie des FDS. En plus des combattants qui tombent sur le champ de bataille, l’on dénombre plusieurs blessés qui sont accueillis au Centre médical des armés sise au Camp Général Sangoulé Lamizana.
Le Centre médical des armés
A l’orée des fêtes de fin d’année, le président de l’Assemble législative de Transition (ALT) est allé apporter du réconfort à ces blessés de guerre. « Nous sommes dans un contexte de guerre difficile et il y a le travail qui est abattue sur le terrain au quotidien. Mais après ce travail, il y a ces blessés de guerre qui ont besoin de réconfort », a fait savoir Ousmane Bougma président de l’ALT.
Ousmane Bougma, président de l’ALT
Dans ce Centre médical des armés, une équipe technique prend en charge au quotidien ces blessés de guerre. Et le président de témoigner sa reconnaissance à l’endroit de l’équipe qui s’occupe de ces malades. « Après présentation, on se rend véritablement compte que l’équipe technique est très bien fournie, les prestations sont de qualité », souligne M. Bougma.
Pour lui, il y a lieu d’élever ce Centre en un centre hospitalier pour améliorer la prestation de service aux blessés de guerre et également aux civils qui s’y rendent pour des soins médicaux. Si on érige ce Centre en un centre hospitalier, dit-il, c’est tout le pays qui gagne du point de vue de la prestation hospitalière.
Pour ce faire, l’ALT entend jouer sa partition qui est d’interpeller les autorités compétentes en vue de travailler pour améliorer les conditions de prestations de service en faveur des malades.
LZJ
Afrikpresse