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Burkina Faso :le capitaine TRAORE  au grand chantier de développement

Le capitaine Ibrahim TRAORE, le président de la transition depuis son arrivée à la tête de l’État burkinabé semble avoir cerné la problématique globale des problèmes du Burkina Faso. En affirmant au tout début que tout est urgent il n’avait pas laissé entrevoir ce dont où il était question dans ses propos. Mais un peu plus d’un an d’actions, on commence à percevoir à travers ses pensées, ses faits et gestes. A la suite du début du réarmement progressif de l’armée burkinabé afin d’être efficace sur le terrain, le président de la Transition est en train de joindre l’utile à l’utile avec le lancement de la construction des industries au Burkina Faso.

Après le lancement de la construction de l’Usine d’engrais à Koupéla dans le centre Est; l’usine de traitement de l’or et des usines de Tomates à Bobo Dioulasso et bientôt à Tenkodogo et Gaoua; le Président de la Transition Ibrahim Traoré a entrepris le début d’une industrialisation du Faso. Cela se confirme avec l’inauguration de l’usine de raffinage de l’or à Ouagadougou. Cet acte fini de traduire que le président de la Transition Ibrahim TRAORE a amorcé le cap de l’industrialisation du Burkina toute chose qui va permettre d’ajouter de la valeur au produit brut exporté autrefois sans maitrise ni contrôle de la valeur des produits bruts.

Mais cette noble mission devrait connaitre un accompagnement sans précèdent.  Une réflexion de protection de cette noble mission d’industrialisation devrait être pensée en même temps que les travaux se réalisent. De par le passé des industries embryonnaires existaient çà et là dans les pays de l’AES. Tout doucement et avec la complicité de certains burkinabé au pouvoir à l’époque ces dernières ont été doucement bradées aux étrangers.

L’une des erreurs les plus excites c’est la privatisation de l’ONATEL car pour nous; aucun pays sérieux au monde ne peut vendre sa communication. La preuve est que l’information et la communication façonnent le monde de nos jours.

Pour ce faire les hommes de droit et de culture devraient être mis à contribution pour redresser la barre de la protection industrielle dans nos États industriellement ruinés!

Rédaction, afrikpresse

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