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Burkina Faso : Hadja Bonkoungou nommée « Ambassadeur de paix »

Suite à sa nomination d’« Ambassadeur de Paix » par la Fédération pour la paix universelle, la guérisseuse Hadja Bonkoungou Oumou a organisé une cérémonie de Burkina Faso : Hadja Bonkoungou nommée « Ambassadeur de paix » reconnaissance à son domicile dans la soirée du samedi 12 Aout 2023. Présent à cette cérémonie, les chefs coutumiers de Boulmiougou et le médecin chef du district sanitaire du Boulmiougou Dr. Abdoul Aziz Ouédraogo.

Les jeunes de Boulmiougou, les femmes et les enfants sont venus nombreux à la soirée de reconnaissance organisée par Hadja Bonkoungou en guise de remerciement à l’endroit de la Fédération pour la paix universelle qui l’a nommé « Ambassadeur de Paix ».Cette cérémonie a été marquée par la musique accompagnée de danse traditionnelles et le jeu de petang.

Hadja Bonkoungou Oumou, lauréate

« C’est une grande considération, et j’en suis très fière. Mon souhait est que la paix revienne au Burkina Faso, que le peuple burkinabè s’entend et que tout entre dans l’ordre », s’est réjouie la lauréate Bonkoungou Oumou.

Le médecin chef du district sanitaire du Boulmiougou Abdoul Aziz Ouédraogo a fait savoir que la médecine traditionnelle et celle moderne s’accompagne. Et d’ajouter que la paix et la santé sont intimement liées. « Nous avons eu à faire des journées d’excellence pour motiver les meilleurs soigneurs de district de Boulmiougou, et Hadja Bonkoungou nous a toujours accompagné », a indiqué Dr. Ouédraogo.

Abdoul Aziz Ouédraogo, médecin chef du district sanitaire du Boulmiougou

Une raison pour Abdoul Aziz Ouédraogo, de venir encourager la lauréate dans ses œuvres de bienfaisance.

 

En rappel, la Fédération pour la paix universelle confère le titre « Ambassadeur de Paix » à des personnalités exemplaires qui qui vivent pour les autres et se dévouent à des activités afin de promouvoir des valeurs morales universelles, une vie de famille solide, la coopération interreligieuse, l’harmonie entre les nations, le renouveau de l’Organisation des Nations Unies, des médias responsables et l’établissement d’une culture de la paix.

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Jeanne Z. LAYA

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